Quand vous n’aimez pas la vision de votre client, que faire ?
Une fois n’est pas coutume, il nous arrive à tous de devoir réaliser des missions alors que l’objectif de notre client ne nous convient pas.
Comment faire dans ces cas là ?
Analyse de plusieurs cas de figures et des postures à adopter qui permettent d’aller au delà de cette problématique.
Première posture : Yes Man !
Cette posture peut vous surprendre ! Et vous amenez à découvrir des choses qu’autrefois vous rejetiez. Cette posture vous amènera à vous ouvrir votre esprit, et à accepter de nouvelles possibilités. Mais nous ne pouvons dire à tout. Il y a des limites sur lesquelles nous ne pouvons revenir, au prix sinon d’une certaine hypocrisie : j’accepte, même si je suis pas d’accord, et dans ce cas cela risque de se ressentir sur le travail que vous réaliserez.
Seconde posture : Ma vision d’abord !
Posture inverse de la première, il s’agit ici de ne pas accepter de compromis avec ses propres valeurs. Notre fierté sera sauve, mais notre porte monnaie, lui, risque de devenir de plus en plus pauvre … Pendant ce temps là on perd un client potentiel qui était en train de démarrer une relation avec vous. L’honneur est sauf, mais votre entreprise reste au point mort.
Troisième posture : Nous allons en discuter ensemble !
Cette posture s’apparente à celle de l’expert. Je suis le sachant, et nous allons ensemble réfléchir sur votre manière de faire par une réflexion commune qui nous conduira à réaliser un travail qui nous conviendra tout les deux.
Sauf que, … le hic, c’est que si votre client est sommé (notamment par sa hiérarchie) d’adopter les objectifs de travail que vous contestez, vous gagnerez surement un ami, votre interlocuteur qui pourra également secrètement désapprouver la politique de sa hiérarchie. Mais à la fin du compte, vous serez en porte à faux avec votre client. Et vous risquez soit de revenir sur votre expertise, soit de perdre un client … Retour donc à la case départ.
Comment donc faire pour sortir de l’impasse ?
- Première possibilité : choisir une clientèle ou un segment d’activité avec lequel vous êtes en complète affinité. C’est par exemple le cas d’un certain nombre d’indépendants qui choisissent de travailler dans l’Economie Sociale et Solidaire (ESS). Dans ce cas, vous serez toujours en accord avec la vision de votre client, et peut être mieux, votre client, de part ses objectifs, vous apprendra de nouvelles choses. Coup double donc !
- Seconde possibilité : votre priorité est avant de tout de travailler et vous souhaitez vous ouvrir à toutes les opportunités possibles. Dans ce cas, évitez une approche frontale. Acceptez les objectifs de votre client, et essayez, sous la forme de suggestions, de proposer des alternatives qui conviennent mieux à votre propre vision. Peut être qu’ainsi, petit à petit, vous trouverez un compromis, et que votre relation avec votre client en ressortira grandit. C’est la politique du Pas à Pas. Vous serez fier du travail que vous aurez accompli sur vous même et votre client sera heureux d’avoir choisit un partenaire ou un prestataire qui n’a pas peur d’être force de proposition. C’est d’ailleurs sans doute ce qu’il attendait.
Au final, pour travailler de manière sereine et pérenne, il s’agit ici de trouver des clients qui nous ressemblent. Soit au niveau des valeurs, des codes, soit au niveaux de la manière de travailler, du respect des délais et de la fibre entrepreneuriale de chacun. Car même si l’on n’est pas d’accord sur tout, les points de convergence seront toujours plus fort que les points de désaccord. Le tout ensuite est une question de pédagogie, de manière de dire les choses et de relationnel.
Pour que votre entreprise se développe de manière pérenne, trouvez donc des clients qui vous ressemblent et avec lesquels il est facile de communiquer.
Pour les trouver, il faut à votre tour communiquer, faire un pas vers les autres afin d’être repérable et identifiable sur le marché. Les outils du marketing (étude, création, communication, web, …) sont vos alliés. N’hésitez pas à les utiliser ![:fr]
Une fois n’est pas coutume, il nous arrive à tous de devoir réaliser des missions alors que l’objectif de notre client ne nous convient pas.
Comment faire dans ces cas là ?
Analyse de plusieurs cas de figures et des postures à adopter qui permettent d’aller au delà de cette problématique.
Première posture : Yes Man !
Il s’agit ici de dire oui à tout. Cette posture peut vous surprendre ! Et vous amener à découvrir des choses qu’autrefois vous rejetiez. Cette posture vous amènera à ouvrir votre esprit, et à accepter de nouvelles possibilités. Mais nous ne pouvons dire oui à tout. Il y a des limites sur lesquelles nous ne pouvons revenir, au prix sinon d’une certaine hypocrisie : j’accepte, même si je suis pas d’accord, et dans ce cas cela risque de se ressentir sur le travail que vous réaliserez.
Seconde posture : Ma vision d’abord !
Posture inverse de la première, il s’agit ici de ne pas accepter de compromis avec ses propres valeurs. Notre fierté sera sauve, mais notre porte monnaie, lui, risque de devenir de plus en plus pauvre … Pendant ce temps là on perd un client potentiel qui était en train de démarrer une relation avec vous. L’honneur est sauf, mais votre entreprise reste au point mort.
Troisième posture : Nous allons en discuter ensemble !
Cette posture s’apparente à celle de l’expert. Je suis le sachant, et nous allons ensemble réfléchir sur votre manière de faire par une réflexion commune qui nous conduira à réaliser un travail qui nous conviendra tout les deux.
Sauf que, … le hic, c’est que si votre client est sommé (notamment par sa hiérarchie) d’adopter les objectifs de travail que vous contestez, vous gagnerez surement un ami, votre interlocuteur qui pourra également secrètement désapprouver la politique de sa hiérarchie. Mais à la fin du compte, vous serez en porte à faux avec votre client. Et vous risquez soit de revenir sur votre expertise, soit de perdre un client … Retour donc à la case départ.
Comment donc faire pour sortir de l’impasse ?
- Première possibilité : choisir une clientèle ou un segment d’activité avec lequel vous êtes en complète affinité. C’est par exemple le cas d’un certain nombre d’indépendants qui choisissent de travailler dans l’Economie Sociale et Solidaire (ESS). Dans ce cas, vous serez toujours en accord avec la vision de votre client, et peut être mieux, votre client, de part ses objectifs, vous apprendra de nouvelles choses. Coup double donc !
- Seconde possibilité : votre priorité est avant de tout de travailler et vous souhaitez vous ouvrir à toutes les opportunités possibles. Dans ce cas, évitez une approche frontale. Acceptez les objectifs de votre client, et essayez, sous la forme de suggestions, de proposer des alternatives qui conviennent mieux à votre propre vision. Peut être qu’ainsi, petit à petit, vous trouverez un compromis, et que votre relation avec votre client en ressortira grandit. C’est la politique du Pas à Pas. Vous serez fier du travail que vous aurez accompli sur vous même et votre client sera heureux d’avoir choisit un partenaire ou un prestataire qui n’a pas peur d’être force de proposition. C’est d’ailleurs sans doute ce qu’il attendait.
Au final, pour travailler de manière sereine et pérenne, il s’agit ici de trouver des clients qui nous ressemblent. Soit au niveau des valeurs, des codes, soit au niveaux de la manière de travailler, du respect des délais et de la fibre entrepreneuriale de chacun. Car même si l’on n’est pas d’accord sur tout, les points de convergence seront toujours plus fort que les points de désaccord. Le tout ensuite est une question de pédagogie, de manière de dire les choses et de relationnel.
Pour que votre entreprise se développe de manière pérenne, trouvez donc des clients qui vous ressemblent et avec lesquels il est facile de communiquer.
Pour les trouver, il faut à votre tour communiquer, faire un pas vers les autres afin d’être repérable et identifiable sur le marché. Les outils du marketing (étude, création, communication, web, …) sont vos alliés. N’hésitez pas à les utiliser !